Faire entrer Marie dans le Couvent de la Trinité-des-Monts : tel était le projet de la jeune Pauline Perdreau, qui a réalisé la fresque de Mater Admirabilis au milieu du XIXe siècle, dans un des couloirs du cloître du Couvent, habité à l’époque par les Sœurs du Sacré Coeur.